jeudi 31 décembre 2009
mardi 29 décembre 2009
What ?
Blaaaaaaaackkkkkkk hole ! 'till death ! And laugh, you rats !
Hahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahhahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahha !
Hahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahhahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahahha !
vendredi 4 décembre 2009
One more. But who cares ?

Tout frais de ce matin. Au menu, le premier ministre québécois en visite à Saint-Priest (tabernac' !), un dossier sur la jeunesse san-priote, retour sur le Salon de la Petite édition, et des petites idées déco pour Noël.
Made with heart by generous people.
----------------------------------------------------
Leurs yeux leur brûlaient terriblement, et elles avaient soif. Mais s'arrêter, non, ce n'était pas prévu pour tout de suite. Le désert ne faisait pas de cadeau à ceux qui prenaient trop de repos. Il fallait marcher, marcher, et ne plus songer à la douleur. C'était la boîte qui disait quand faire une pause. La grosse boîte brune et rectangulaire, lourde comme un rocher, aussi exigeante et ingrate qu'un enfant trop gâté.
Au bout d'un moment, la fatigue et la douleur furent si vives que Sime serra les dents au point de presque les fissurer. Elle souffrait le martyr, la pauvre, et une larme bouillante coula même le long de sa joue gauche.
- Ça suffit ! hurla Nate, folle de rage. Arrête-toi !
Et elle décocha un violent coup de pied dans la caisse que sa petite sœur traînait. D'habitude, on ne disait pas à la boîte quand cesser d'avancer, mais cette fois-là, l'objet ne protesta pas.
jeudi 3 décembre 2009
Et si je ne trouvais rien à dire ?
L'éventualité est là. Alors, lorsque je n'aurai rien d'intéressant à partager, je me contenterai de me taire. Ne rien dire... Il semble que je commence à devenir très bon, en la matière.
Bon, sinon, la forme est encore imparfaite. Je découvre à peine Blogger, et l'empoté que je suis a bien du mal avec lignes de codes, widgets et autres options de modération, mais gageons que d'ici quelques mois, voire semaines, cet endroit ressemblera davantage à l'idée que je m'en fais, à savoir une sorte de "morceau de moi", lien entre le Ron et la petite poignée de personnes qui le connaissent un peu, beaucoup, comme-ci, comme ça, et suffisamment curieuses et sincères pour hanter l'endroit de leur avatar numérique - alors que je n'ai pas particulièrement cherché à communiquer dessus.
----------------------------------------------------
- Tu voudrais qu'on change ?
Nate avait posé la question par politesse. Elle savait que son tour arrivait, qu'il allait falloir qu'elle tire la grosse boîte, mais elle n'en avait pas envie. Plus envie. Se trimbaler ce machin, encore et toujours, sentir la morsure de la corde râpeuse sur la paume de ses mains blanches, non merci. Alors, elle espérait que Sime lui répondrait comme il y avait deux heures. Et c'est ce qui se passa.
- Non, ça va aller. Je continue.
Elle était courageuse, Sime. Ça, on ne pouvait pas le lui enlever. Oui, Nate avait la beauté, mais Sime, elle, avait le courage. Et elle ne se plaignait jamais, aussi. Quels que soient les efforts à fournir, elle continuait à avancer, sans regarder en arrière.
Nate poussa un petit soupir de soulagement. Comme elle dégageait une mèche de ses cheveux blonds, collée à son front par la transpiration, elle se retourna et jeta un coup d'œil à sa sœur, dont le visage était rouge sous l'effort. Là, elle la trouva jolie, puis non.
- Tu penses à quelque chose de particulier ? demanda Sime.
Nate pointa son regard vers l'horizon.
- J'aimerais ne jamais avoir vu cette foutue boîte ! répondit-elle furieusement. J'aurais aimé qu'il ne nous choisisse jamais !
Bon, sinon, la forme est encore imparfaite. Je découvre à peine Blogger, et l'empoté que je suis a bien du mal avec lignes de codes, widgets et autres options de modération, mais gageons que d'ici quelques mois, voire semaines, cet endroit ressemblera davantage à l'idée que je m'en fais, à savoir une sorte de "morceau de moi", lien entre le Ron et la petite poignée de personnes qui le connaissent un peu, beaucoup, comme-ci, comme ça, et suffisamment curieuses et sincères pour hanter l'endroit de leur avatar numérique - alors que je n'ai pas particulièrement cherché à communiquer dessus.
----------------------------------------------------
- Tu voudrais qu'on change ?
Nate avait posé la question par politesse. Elle savait que son tour arrivait, qu'il allait falloir qu'elle tire la grosse boîte, mais elle n'en avait pas envie. Plus envie. Se trimbaler ce machin, encore et toujours, sentir la morsure de la corde râpeuse sur la paume de ses mains blanches, non merci. Alors, elle espérait que Sime lui répondrait comme il y avait deux heures. Et c'est ce qui se passa.
- Non, ça va aller. Je continue.
Elle était courageuse, Sime. Ça, on ne pouvait pas le lui enlever. Oui, Nate avait la beauté, mais Sime, elle, avait le courage. Et elle ne se plaignait jamais, aussi. Quels que soient les efforts à fournir, elle continuait à avancer, sans regarder en arrière.
Nate poussa un petit soupir de soulagement. Comme elle dégageait une mèche de ses cheveux blonds, collée à son front par la transpiration, elle se retourna et jeta un coup d'œil à sa sœur, dont le visage était rouge sous l'effort. Là, elle la trouva jolie, puis non.
- Tu penses à quelque chose de particulier ? demanda Sime.
Nate pointa son regard vers l'horizon.
- J'aimerais ne jamais avoir vu cette foutue boîte ! répondit-elle furieusement. J'aurais aimé qu'il ne nous choisisse jamais !
Inscription à :
Commentaires (Atom)